Retour sur l’histoire d’une chanson ô combien nostalgique signée Frank Sinatra, "There used to be a ballpark" datant de 1973, qui parle de la perte des repères et surtout de toute une époque révolue du baseball, le Golden Age ! Et oui Sinatra, avant d’être le crooner et l’homme à femmes, restait avant tout un gros fan de baseball. Read more »
Jackie Robinson est une lumière. Une lumière d’une grande intensité dans l’histoire de la MLB et du sport. Il a brisé les barrières du racisme dans le baseball et les sports US. Mais sa lumière fut si intense qu’elle plaça dans l’ombre ceux qui le suivirent de près et qui, eux aussi, brisèrent les barrières de la ségrégation et du racisme dans le baseball majeur et au-delà. Et au premier rang de ces suiveurs de l’ombre, Hank Thompson, troisième afro-américain à avoir joué en MLB en 1947 après Jackie Robinson et Larry Doby. Pourtant, Henry Curtis « Hank » Thompson peut s’enorgueillir d’avoir à son palmarès de nombreuses premières pour un afro-américain dans les Majeures.
Mais Hank Thompson, c’est aussi une histoire torturée, de son enfance jusqu’à sa mort, et dont pâtira sa carrière, l’empêchant de suivre les traces d’un Jackie Robinson jusqu’au Hall of Fame malgré un grand talent. Read more »
Aujourd’hui, Honus revient sur ce qui est considéré comme l’un des plus grands matchs de baseball de l’histoire de la MLB. Une histoire de héros glorieux et de renversements inespérés de situation. Une histoire de miracle pour certains et de tricherie pour d’autres. Une histoire pour Honus en somme.
Au début de la saison 1951, la National League promet une course à trois vers le titre de la ligue et une place en World Series. D’un côté, on a les Phillies de Philadelphie des Hall of Famers Richie Ashburn et Robin Roberts. De l’autre, les New York Giants du manager Leo Durocher mais aussi de Monte Irvin et Willie Mays, trois autres futurs membres du Temple de la Renommée. Enfin, venant de Brooklyn, le troisième larron, les Dodgers, future franchise californienne. Ceux de Jackie Robinson, Pee Wee Reese et Roy Campanella, trois autres joueurs qui intégreront Cooperstown. Bien entendu, les trois équipes possèdent toute une ribambelle de joueurs All-Stars. La lutte s’annonce féroce. Read more »
En 2008, Honus trouvait sur le net un site qui révélait l’existence d’un joueur de baseball japonais chez les pros de Negro League en 1915, Goro Mikami, soit le premier joueur pro japonais connu. En 2011, Honus fait plus fort et vous révèle que le premier joueur japonais pro ou semi-pro, ce n’était pas en 1915 mais… en 1904 ! Read more »
Revenons sur Honus sur l’histoire méconnue mais ô combien significative de Chief Tokohama. On l’a vu dans les origines de la negro league, les codes de la société américaine et la ségrégation qui en découlait se sont rapidement imposés dans le baseball professionnel dés la fin du XIXe siècle. Les joueurs non blancs, qu’ils soient noirs, asiatiques ou latins ne peuvent jouer dans les grandes ligues pros. Mais si cette ségrégation raciale dans le baseball s’est imposée, tout le monde ne considérait pas cette exclusion des "non blancs" comme légitime. Certains même la regrettaient, comme John McGraw, le légendaire coach des New York Giants de la dead ball era. Read more »
Il est des frappes dont on se souvient plus facilement et pour diverses raisons qui n’appartiennent qu’à nous, qu’on soit fier de soi (ça fait du bien parfois !) que ce hit magique vous transporte car vous êtes fan ou bien ou bien… Bref c’est à vous de voir.
En 1951 les Brooklyn Dodgers étaient bons premiers en ligue Nationale avec plus de 13 matches d’avances en Août sur les seconds, les New York Giants (Pour ceux qui ne le savent pas encore, à cette époque New York était la Capitale du Baseball avec 3 franchises à succès : Les New York Giants (Polo Ground) Les Brooklyn Dodgers (Ebbets Field) et une petite franchise pour la fin mais qui ne vous dira rien tant elle a peu fait parler d’elle au cours de ces cent dernières saisons… les New York Yankees. Quoi le Yankee stadium ? Comment ça un champ de patates ?)
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Bientôt la nouvelle saison MLB 2010, et certainement une nouvelle saison de loose pour les Giants . L’équipe de Californie n’a en effet jamais gagné le titre ultime depuis plus de 50 ans. Ils perdent les World series en 1962 avec des joueurs comme Willie Mays et Orlando Cepeda. Même durant la saison 1989, avec l’équipe fantastique des Will Clark, Kevin Mitchell, ou Matt Williams, ils perdent 4-0 la finale. Même destin en 2003 avec le frappeur stéroïdien Barry Bonds. Pourquoi ? Cela ne vient pas des joueurs, qu’ils ne s’inquiètent pas, les Giants sont hélas maudits !
Et oui, une nouvelle malédiction sur Honus : la malédiction de Captain Eddie ! Read more »